• Hier jolie découverte à Bazas où nous traînions nos guêtres à la découverte de cette jolie et très ancienne ville pleine de charme avec sa cathédrale (en rénovation... dommage), sa grande place entourée d'arcades, ses ruelles étroites, ses hauts remparts...

    Découverte de décrocheurs de lunes

    Et tout-à-coup

    Découverte de décrocheurs de lunes

    Ces drôles de personnages nous ont interpellés...

    Ce sont des décrocheurs de lune... et leur présence à l'entrée d'une exposition d'artistes (Place des Arts Bazas) m'a vraiment charmée.

    Leur auteur, Jean Lorenzetti usine le métal et en fait des créations originales et très poétiques dont vous pouvez trouver un aperçu ICI

    L'expression est si jolie que j'ai fait des recherches sur internet et ai trouvé de jolis spécimen...

    Découverte de décrocheurs de lunes

     

    Découverte de décrocheurs de lunes

     

    Découverte de décrocheurs de lunes

     

     

    Découverte de décrocheurs de lunes

    mais aucun ne m'a autant touché que ces trois hommes essayant d'atteindre leur rêve. Chacun sa méthode mais ce qui compte c'est d'essayer...

     

    Découverte de décrocheurs de lunes

     

    Découverte de décrocheurs de lunes

     

    Et ces personnages là ne manquent pas de tenacité :-)

     

    En voici un en tout cas qui à défaut d'attraper la lune sait conjuguer le bonheur au quotidien...

    Découverte de décrocheurs de lunes

     

     


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  • Perdu parmi les DVD et les gros livres sur le cinéma, j'ai découvert samedi à la médiathèque ce mini livre, 10 cm de haut, 1 cm d'épaisseur, mais la couleur rose vif qui accroche le regard...

    Il y a des répliques choc, des rigolotes et d'autres si souvent entendues.

    Allez... un petit quizz ;-)

    Numéro 1
    - J'vous apprendrai comment j'm'appelle, moi, bougre d'andouille !
    - Oh, joli nom !

    Numéro 2
    -Ton père et moi, tu nous feras mourir de chagrin.
    -Tant mieux ! Comme ça, on retrouvera pas l'arme du crime !

    Numéro 3
    - Tu as vu cet inspecteur avec son tarin ? Il doit pas manquer de flair. Je l'prendrais bien pour aller aux truffes.

    Numéro 4
    - Avoir l'air d'un faux jeton à ce point-là, j'te jure que c'est vraiment de la franchise !

    Numéro 5
    - Oh une serpillière !... C'est formidable, Thérèse
    - Non, Pierre, c'est un gilet !
    - Ah oui ? Ah bien, bien sûr, y'a des trous plus grands pour les bras... Je suis vraiment ravi Thérèse ! (...) Ecoutez, si vous saviez comme ça tombe bien : je m'disais hier soir encore qu'il me manquait quelque chose  pour descendre les poubelles.

    Numéro 6
    -Les cons ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît.

    Numéro 7
    - ??? mais pourquoi vous dites qu'il les a donnés ?
    - Mais j'ai jamais dit ch'a.
    - Pourquoi des chats ? vous m'avez dit des chiens...
    - Ah non.
    - Ah si. Vous m'avez dit : "Les meubles sont chez les chiens".
    - J'ai dit : "Les meubles, ch'est les ch'iens" Les ch'iens à lui.
    - Ah ! les siens ! Pas les chiens, les siens.
    - Oui, les ch'iens, ch'est cha !
    - Les chiens, les chats ! Putain, mais tout le monde parle comme vous ici ?
    - Ah ben ouais, chez les Ch'timis, tout l'monde y parle ch'timi. Y'en a même un qui parle flamand, ici !

     

    Allez j'arrête là, sinon à quoi servirait ce petit livre ? Mais je me suis bien amusée de certaines répliques...

     

     

    LES REPONSES :

    1. Fanfan la Tulipe, Christian-Jaque, 1952 (Fanfan la Tulipe à son sergent instructeur "Fier-à-bras", respectivement Gérard Philipe et Noël Rocquevert)

    2. Mélodie en sous-sol, Henri Verneuil, 1953

    3. Quelques messieurs trop tranquilles, Georges Lautner, 1972

    4. Pépé le moko, Julien Duvivier,  1939 (et là on entend vraiment la voix de Jean Gabin)

    5. Le Père Noël est une ordure, Jean-Marie Poiré, 1982

    6. Les tontons flingueurs, Georges Lautner, 1963 (Ahhh Lino Ventura !...)

    7. Bienvenue chez les Ch'tis, Dany Boon, 2008

     

     

    Une petite dernière, que je n'avais jamais entendue et que j'ai trouvée vraiment ravissante :

    "Tu auras cette chemise de nuit. Dussé-je recommencer à zéro avec deux vers à soie !

    Extraite de "I love you again" (Monsieur Wilson perd la tête) de Woodridge S. Van Dyke, 1940

     

     


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  • Au delà des phobies ordinaires et des peurs viscérales, nous connaissons les angoisses et les ombres qui planent sur nos têtes et celles des gens que l'on aime. Et parmi celles-ci le grand fléau de la maladie d'Alzheimer.

    J'ai croisé ce livre et avoue avoir hésité à l'emprunter car plonger dans ce drame de la vie n'était peut-être pas l'entrée en matière idéale pour un début de congés...

     

    Ce qui nous fait peur...

    Avec humanité et précision, un psychiatre et un gériatre abordent la manière de soigner et d'accompagner une personne atteinte de la maladie d'Alzheimer.
     
    Comment annoncer la maladie ? Qu'implique-t-elle ? Comment un malade pense-t-il ? Comment communiquer avec lui ? Quels sont les principaux axes de traitement et de prise en charge ? Mais surtout, comment faciliter la vie des malades et de leurs proches ?

    Un livre qui apporte de vraies réponses.

     

     J'ai abordé cet ouvrage du bout des yeux prête à le refermer s'il était trop ardu ou tout simplement révélait une réalité trop difficile à soutenir. J'ai comme chacun des souvenirs douloureux de cette maladie.

    Mais je dois dire que la lecture de ce livre m'a enthousiasmée, parce que d'abord il est d'une humanité incroyable. Les auteurs parlent, expliquent, rassurent et surtout déculpabilisent. Ce n'aurait pu être qu'un essai technique et scientifique. Il est parole, partage et est illustré de nombreuses vignettes témoignant de petits morceaux de vie de personnes touchées par la maladie et qui illustrent des commentaires très enrichissants.

    S'ensuivent des conseils pratiques, médicaux, juridiques, un éventail de possibilités pour améliorer la vie quotidienne des personnes malades, mais aussi celle de leur entourage qui est souvent dans une extrême souffrance. La bienveillance envers ces personnes désorientées et ces outils pour leur redonner de la vie et du bien être est présentée comme une clé d'une meilleure prise en charge et à la lumière de toutes ces observations, il semble à nouveau possible de faire face à ce grand problème qu'est la maladie d'Alzheimer, et en même temps, pour les personnes qui sont heureusement épargnées, aux écueils du grand âge.

    J'ai ressenti ce livre comme une grande respiration et c'est pourquoi j'avais envie d'en parler ici.

    Un extrait qui m'a touchée et qui donne un peu le ton de l'ouvrage...

    "Le degré de civilisation d'une culture se mesure bien à l'attention et à l'amour qu'elle est capable de porter aux plus vulnérables de ses membres".

    Ce ne sont pas de vains mots !...

     

    "La vie Alzheimer"  de Linda Benattar et Patrick Lemoine 


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  •  

    Petit poème pour Jupiter

    Jupiter est mon neveu à poils, tout jeune encore ... Il est beauuuuuu, je l'adore....

     

    Penser à lui est l'occasion de feuilleter une nouvelle fois le petit livre :

     "Cher Maître et si je mordillais ce fauteuil..."
    (Francesco Marciuliano)

    Un petit poème en partage... pour le plaisir...

    ASSIS

    Tu veux que je m'assoie ?
    Tu voudrais que je m'assoie ?
    Tu as besoin que je m'assoie ?
    Tu me demande de m'asseoir ?
    Tu gueules pour que je m'assoie ?
    Tu m'implores pour que je m'assoie ?
    Tu me pries de m'asseoir ?
    Tu dis le mot "assis"
    Comme si je savais ce que ça veut dire
    Mais tu es tellement enthousiaste
    Que je saute en aboyant.

     

    Petit poème pour Jupiter

    Jupiter ne saute pas trop mais ne déteste pas une bonne partie de jeu...

    Et puis, lui... il sait... il a tout compris... smile

    Petit poème pour Jupiter

    Il a trop la classe Jupiter ! wink2

     

     

     


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  • Une petite promenade dans les bois, quoi de plus agréable surtout avec un gros Ouaf qui peut courir tout son saoûl...

     

    Principe de précaution

     

    Mais pourquoi l'homme se sent-il toujours obligé de mettre son grain de sel partout où il passe ?

    Voici ce que nous avons découvert il y a quelques jours sur toute la longueur d'une allée dans le petit bois du centre ville...

     

    Principe de précaution

    KAZAKO ?

    Principe de précaution

    Symphonie en orange ?

    Principe de précaution

    Même en y mettant beaucoup de poésie...

    Principe de précaution

    Force est de constater que nous sommes face à un énième principe de précaution !!!

    Principe de précaution

     

    Que celui qui n'a jamais hurlé un nom d'oiseau en se tordant la cheville me jette la première pierre, mais quand même, à ce stade on croit rêver.

    Peut-être faudrait-il préciser à certains promeneurs que nous avons à Mérignac un magnifique stade où il est possible de marcher des kilomètres avec une parfaite régularité et sans risque de faux pas...

    Ma moitié m'a tout de même fait rire en m'annonçant que la prochaine mesure serait de mettre des couche-culottes aux canards 

    Principe de précaution

    Ou un casque pour marcher sous les pins...

     

    Principe de précaution

     

    Rien ne sert d'épiloguer... il faut sourire à point !... :-)

     

     

     


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